25 avril 2006
Usine palpite
Le lendemain, l’usine offre son autre visage, celui laiteux, lisse et distant qu’elle réserve aux adultes et au quotidien. Un visage de poussière et de labeur, un ventre grouillant d’armées de mineurs qu’elle happe et rejette à heures fixes et immuables, autour desquelles palpite le reste du monde, l’attente des femmes, la parole des cafés.
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